Arrivés de Marie Galante en fin de matinée, la réceptionniste nous dit que les chambres seront dispos à 15h, après avoir pris soin de faire régler le solde intégral... De retour à 15h, une autre réceptionniste, en tenue de plage, slip et soutien gorge visibles, nous dit qu'il faut savoir lire! que sur tous les documents c'est écrit 16h, sur un ton de maitresse d'école aux enfants du CP! Nous attendons... A 16h nous sommes informés par un "vos chambres sont libres" qu'elles le sont. Ah oui j'oubliai, le bonjour, le s'il vous plait et le merci ne font pas partie du vocabulaire local... Nous prenons également une clé de compteur électrique pour la charge de la voiturette que nous payons 5€ (avant qu'on nous la donne) en espèce. Les chambres sont au bout du domaine, personne ne nous accompagne pour les montrer, ni aider à porter les bagages, "les autres clients ne disent jamais rien" précise la mégère en tenue de pole danse! après des escaliers extérieurs interminables et 2 étages sans ascenseur, on découvre des chambres basiques, au charme digne de l'immeuble béton qui les abrite... Ok la vue est belle, mais à 224€ la nuit on est loin du rêve. Repas le soir, correct mais sans saveurs particulières. Un sommelier qui ouvre la bouteille sans la présenter et sert sans faire gouter. Petit déj indigne d'un établissement réputé de ce niveau, sans compter les plans de travail douteux de propreté sur lesquels sont disposés les aliments... Le summum, au départ, la réceptionniste du matin nous réclame avec insistance les 5€ de la clé recharge électrique, en nous assurant que si nous avions payé sa collègue, la plagiste l'aurait mentionné... (si on ne paye pas on ne te la donne pas!). Elle s'étonne de ma mauvaise humeur, un comble après m'avoir menacé d'informer les autorités, ce que je lui ai vivement conseillé de faire! Toujours pas de merci, au revoir ou tout autre forme de politesse, le piège à touristes captifs d'une ile surfaite ou le tir aux pigeons semble le sport préféré des iliens. Le FEDER a subventionné la rénovation de l'établissement (et oui, nos impôts...) Il aurait du dépenser un peu plus encore pour la formation et l'éducation du personnel.…